Témoignages

 

Fibromyalgie/fatigue chronique

Céline Plourde (Mirabel, Qc)

IMMUNOCAL m’a permis de retrouver la santé. Je souffrais de fibromyalgie/fatigue chronique. Cela se manifestait par des douleurs musculaires aigues, ponctuées d’élancements aussi sensibles Celinesite2.jpgque des bleus, et ces douleurs étaient devenues généralisées. J’avais beaucoup de difficultés à dormir et je me levais le matin déjà fatiguée avec des raideurs sur tout le corps. Il me fallait des jours pour récupérer et la plupart du temps mon simple quotidien était devenu un fardeau. En fait, mon système immunitaire était affaibli. En conséquence j’attrapais tout ce qui passait: rhumes à répétition, trois à quatre otites par année, etc… À 35 ans, l’avenir se présentait à moi sous des couleurs sombres et je commençais à me rendre à l’évidence que je ne m’en sortirais pas.

Une amie témoin de mes souffrances me parla alors d’IMMUNOCAL. Je me suis laissée convaincre et j’ai décidé de l’essayer. Ce jour là, j’ai pris une des meilleures décisions de ma vie. J’ai pris entre 3 et 4 enveloppes par jour d’IMMUNOCAL, ensuite d’IMMUNOCAL Platinum. Très vite, j’ai ressenti un regain d’énergie qui se maintenait de façon constante. Graduellement les douleurs musculaires ont diminué et, quelques mois plus tard, j’avais oublié ce que c’était que d’avoir mal!

Ce produit a vraiment changé ma qualité de vie : absence de douleurs, énergie accrue, récupération rapide, développement et affermissement de ma masse musculaire... Je peux maintenant accomplir dans une journée beaucoup plus qu’il y a cinq ou dix ans passés. Dans les circonstances, je ne pouvais garder cela pour moi. Je me sentais le devoir de faire savoir qu’il y a un espoir à toutes ces personnes dont la vie est assombrie par la souffrance et la maladie. J’ai donc quitté mon emploi dans un magasin de cosmétiques et me suis lancée dans la promotion de cette grande découverte, peu importe ce qui arriverait. Les résultats ont dépassé les rêves les plus fous que j’aurais pu faire : j’aide maintenant des milliers de personnes qui à leur tour passent le message. Ma vie a pris un sens complètement nouveau.

 

Fibromyalgie/fatigue chronique

Julie Lévesque-Boucher (Mirabel. Qc)

J’ai vécu avec le Syndrome de la fatigue chronique/fibromyalgie et des dépressions saisonnières depuis environ 18 ans. J’ai vécu aussi avec de l'anxiété chronique et des troubles obsessifs compulsifs (TOC) depuis que je suis toute petite. Après plusieurs années d'essais-erreurs et de recherches personnelles, une femme m'a parlé de la découverte majeure sur la clé du système immunitaire: le glutathion ! Je prends du Platinum depuis 1 an et 3 mois et mon quotidien est transformé. JulieLevesqueBoucher.jpg

Dès la première journée où j'ai pris un sachet complet j'ai senti mon énergie monter d'une manière surprenante et les douleurs musculaires ont diminué de jour en jour. Huit mois plus tard, je suis tombée en patins à roues alignées et c'est là que j'ai vraiment compris que mes muscles allaient beaucoup mieux. J'ai eu des courbatures durant 2 jours, comme une « personne normale ». Si je n'avais pas consommé de Platinum depuis 8 mois, les séquelles de cette chute auraient été très pénibles. J'aurais eu des douleurs durant 6 à 8 mois et j'aurais dû investir environ 1000$ en physiothérapie, ostéopathie et massothérapie. Trois jours plus tard, j'étais complètement remise et impressionnée et je rechaussais mes patins ! C'est au même moment que j'ai réalisé que l'anxiété et les TOC avaient diminué d'environ 70%. Wow ! Que la vie est belle ainsi ! Je me sens enfin libérée.

Dix mois après avoir commencé le Platinum j'ai décidé d'augmenter à 2 sachets par jour en prévision des symptômes de dépression saisonnière. Deux mois plus tard, j'ai pu constater que certains symptômes de dépression saisonnière qui m'indisposaient encore avaient beaucoup diminué, voire disparu. Ma confiance en moi est aussi forte que durant l'été et je pleure seulement quand il y a une raison et non plus 15 à 20 fois par jour sans raison. Parallèlement à la prise de Platinum, je fais aussi la thérapie par la lumière (luminothérapie). Je peux même diminuer le dosage de certains médicaments. J'ai enfin une vie normale et je n'ai plus besoin d'aide de mes proches. Quel bonheur de vivre ma vie au maximum !

 

Cancer du poumon

Claude Raiche ( Vaudreuil-Dorion, Qc. 76 ans le 19 janvier 2011)

ClaudeRaiche2.jpgFin novembre 2006, j’ai commencé à cracher du sang lorsque je toussais. Un examen a révélé que j’avais un cancer au poumon droit! Quinze jours plus tard on m’enlevait le lobe supérieur de ce poumon. Dans un système si lent, il y avait lieu de me réjouir! Pourtant les réjouissances ont été brèves, car on m’annonçait dès le lendemain qu’on avait découvert des métastases au poumon gauche. On décida d’entreprendre des traitements de chimiothérapie, dès la guérison de l’opération, à dose très forte, tout en m’avouant qu’il n'était pas sur que je passe à travers...

La première séance débuta un mois plus tard et se poursuivit durant neuf semaines, accompagnée de la promesse arrachée par mon oncologue de ne prendre rien d’autre que ce qu’il me prescrivait. Or j’avais entendu parler d’IMMUNOCAL et des résultats souvent spectaculaires qu’il produisait. Sachant que mes chances de survie étaient réduites, j’ai décidé de passer outre à son interdiction et de prendre deux sachets par jour. Grand bien m’en fit! Car semaine après semaine je me rendais recevoir ma dose de chimiothérapie sans ressentir aucun effet secondaire et toujours plein d’énergie. Ce qui ne manqua pas d’étonner l’oncologue qui attribua le fait à ma robuste constitution…

Trois mois plus tard, un examen a révélé que mon état s’améliorait rapidement. Lors d’un autre examen, six mois plus tard, les métastases au poumon gauche étaient disparues et le poumon droit était guéri. Cette fois mon médecin-oncologue m’avoua qu’il ne comprenait pas que la guérison ait été aussi rapide. Au dernier rendez-vous deux ans après l’opération, il m’expliqua que j’avais atteint un niveau de rémission qu’on ne retrouve normalement qu’au bout de quatre ans… surpris d’un tel résultat qu’il ne parvenait toujours pas à s’expliquer! Moi, je connaissais l’explication : IMMUNOCAL!

 

Allergies / système immunitaire

Lucien Labarre (Ste-Marthe-sur-leLac, Qc)

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Pendant plus de dix ans j’ai souffert d’allergies sévères. Rhume des foins 75 jours par an accompagné de sinusite chronique depuis plus de 40 ans. J’avais aussi une douleur aigue aux genoux lorsque je gravissais des marches. Une amie m’a conseillé IMMUNOCAL. J’ai pris deux sachets par jour et, dans les mois qui ont suivi, j’ai vu chacun de ces symptômes disparaître.

 

 

 

Depuis 2001 je fais la promotion de cette découverte d’une équipe de chercheurs de l’Université McGill et de l’Hôpital général de Montréal qui a changé ma vie. Finies les allergies et finie la sinusite. Aider les gens à améliorer leur qualité de vie est devenu ma mission.

 

Sclérose en plaque

Dr William Code, md, frcpc

DrCode.jpgL'histoire pathétique d'un jeune médecin en pleine gloire que cette impitoyable maladie est venue clouer sur une chaise roulante. À titre de directeur du programme des résidents à l’Université de la Saskatchewan, le Dr Bill Code menait une carrière très occupée en travail clinique, recherche et enseignement. Le Financial Post’s Fortune 500 Edition le décrivait comme la quintessence des baby-boomers lorsqu’il troqua son style de vie haut de gamme pour les banlieues tranquilles de l’île de Vancouver en 1992. C'est alors que, peu de temps après, il commença à éprouver des problèmes à chaque pas, de la fatigue et une faiblesse grandissante au côté droit.

Il a été diagnostiqué sclérose en plaques en 1996. Dans un récit détaillé, il a raconté l’histoire de son diagnostic et sa recherche en vue de retrouver un mieux-être. Sa récupération fut largement tributaire du IMMUNOCAL, comme il le raconte dans une entrevue accordée après sa guérison et dont nous reproduisons les principaux passages.

Voir: Le Dr William Code

 

 

TÉMOIGNAGES AFFAIRES

 

Paul Desgranges & Rolande Legault

 

 

Caroline Cressens

 

 

 

 

 

 

Louis-René Jobin